Technique de Traitement du Bois et de l’Humidité
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Intervention d’urgence : sécurisation et consolidation de bâtiments sinistrés
NOS SERVICES
Notre méthode en 3 points clés
Le diagnostic
Un sondage externe et interne des matériaux à traiter.
Une prise de mesures avec différentes techniques pour rechercher la teneur en eau de murs, la présence de larves, d'insectes xylophages ou de champignons kignivore.
Ce diagnostic se terminant par un devis détaillé.
L'intervention
Une équipe de techniciens spécialisés utilisant les meilleurs produits, dans le respect des normes d'utilisation et d'environnement , pour les traitements préventifs et curatifs des murs, des bois et des bétons. Nous pouvons intervenir en tant qu'Entreprise Générale en pilotant et coordonnant tous les corps de métier dans des travaux importants de réparation et/ou de rénovation.
Le suivi
Des traitements avec, notamment, la prise de nouvelles mesures pour vérifier l’évolution de l’assèchement des murs traités, la diminution régulière des sels hygroscopiques, la bonne tenue des rénovations bois et béton, l'éradication complète d'une mérule.
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Questions fréquentes
À quoi est due la présence de remontées capillaires ?
La présence de remontées capillaires est due à la réunion de plusieurs facteurs : - L’absence de fondations étanches, - Un passage d’eau souterrain (source) sous une maison, - Une eau qui contient des sels minéraux, - Une charge électrique dans les murs, - Un terrain avec des capillaires Le frottement de l'eau souterraine contre les matériaux crée une bande de fréquences naturelle qui va charger l'eau électriquement; cette charge électrique va lui donner la force nécessaire pour monter dans les capillaires du terrain puis du sol et des murs.
Pourquoi un traitement par injection pour stopper les remontées capillaires ?
Tant que l'humidité contenue dans les murs ne s'est pas évaporée, elle monte, parfois très haut. Il est donc nécessaire de la stopper en créant une barrière anti-remontée, par l’injection sous pression contrôlée d’un produit hydrophobe. Bien entendu, avant tout traitement, des prises de mesures du taux d’humidité, voire cartographie du mur, détermineront d’une part le type de traitement à appliquer et d’autre part constitueront une base comparative aux mesures prises dans les mois suivant les travaux afin de vérifier l’évolution de l’assèchement des murs.
Y a-t-il d’autre méthode de traitement contre les remontées capillaires ?
Il existe une alternative à la méthode par injection qui est celle de la pose d’assècheurs, tubes cylindriques de 5 cm de diamètre composé de résines thermoplastiques, placés à intervalles réguliers dans un mur, dont l’objectif est d’accélérer l’évaporation de l’eau. Mais les remontées ne sont pas bloquées. Dans certains cas, les deux méthodes peuvent être complémentaires.
Une fois l’assèchement des murs terminé, quid du traitement des enduits sur ces murs ?
Les sels hygroscopiques (nitrates de potassium, chlorures), présents dans les matériaux de construction et les enduits, ont la propriété de capter l’humidité présente dans l’air. Il faut donc prévoir, après la phase d’assèchement, un traitement de ces sels pour que l’opération soit complète. Lorsque l’enduit est contaminé, le remède le plus simple et le plus économique, consistera à le remplacer en y ajoutant un additif hydrofuge. Ne pas oublier de traiter le mur remis à nu.
Dans quelles régions de France trouve-t-on la mérule ?
Principalement en Bretagne, en Normandie et dans le Nord de la France. La mérule se développe dans les maisons peu chauffées, mal ventilées dont le taux d’humidité dépasse les 30%. Ce sont le plus souvent des maisons anciennes, des résidences secondaires, peu habitées, quelquefois rénovées (lambris, parquet, aménagement de combles) sans traitement préventif en profondeur pour lutter contre ce champignon.
Comment s’aperçoit-on qu’une maison est envahie par la mérule ?
De couleur brune, elle est visible sur des boiseries (bord de fenêtre, escalier, poutres apparentes, parquet et également sur des murs ayant des taux d’humidité élevés (70%). Ses filaments s’étendent rapidement, jusqu’à 4mm par jour. C’est un champignon lignivore qui détruit la lignine, c’est à dire la partie du bois qui en assure sa rigidité et son imperméabilité à l’eau ! Dans le cas où la mérule est cachée, on constate, par exemple, des affaissements de planchers, d’escaliers, l’apparition de filaments blancs qui sortent par les plinthes, les lambris, les « placos » et une odeur de champignon.
Comment procède-t-on au traitement curatif de la mérule et ensuite aux travaux de rénovation ?
Un expert déterminera avec précision les zones contaminées par la mérule, le type de traitement curatif pour éradiquer totalement le champignon et l’ensemble des travaux de rénovation à effectuer. Tous les éléments attaqués devront être déposés et brûlés (faux plafonds, parquets, lambris, plinthes, poutres, escaliers, etc.) Quand la mérule attaque également la maçonnerie, les murs devront être mis à nu, grattés plusieurs fois et brûlés au chalumeau pour détruire toute trace de filaments. De plus les parties internes de la maçonnerie d’une zone contaminée seront traitées avec un produit antifongique injecté à basse pression dans des trous perforés à intervalles réguliers.
Pour le traitement de la mérule et les travaux de rénovation, quels sont les plus de votre société ?
Grâce à un large réseau de partenaires fidèles et compétents dans leur spécialité et regroupant tous les corps de métiers, nous pouvons piloter et coordonner la totalité des travaux à effectuer, de la dépose des éléments contaminés à la décoration finale, en passant par le traitement curatif de la mérule et la remise en état de tous les éléments déposés, charpente, faux planchers, menuiserie, plomberie, électricité, etc.
Quelle est votre principale zone géographique d’activité ?
Notre siège est en banlieue Nord de Paris. Notre principale zone d’activité est l’île de France mais nous pouvons intervenir sur l’ensemble de la France Métropolitaine.
Quels sont vos domaines d’intervention en matière de rénovation bois ?
Nous intervenons par exemple, sur des structures de marchés couverts, des charpentes et poutres maîtresses d’habitations, des maisons à colombages, des courts couverts de tennis, etc. pour des réparations et/ou rénovations bois telles que : reprise de charge, reconstitution d’about de poutre, réparation simple ou combinée avec des composants comme les résines synthétiques, fibre de verre, acier et bois.